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La translaboration formative

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En cherchant sur un célèbre moteur de recherche, avec le mot "translaboration", on trouve des textes dont je donne un échantillon :

Monique Lauret psychanalyste rend compte de l’ouvrage : La position dépressive au service de la vie. James Gammill, Paris, Éditions In Press, 2007 :
En 1934, dans son article « Contribution à l’étude de la psychogenèse des états maniaco dépressifs », Melanie Klein introduit le concept de « position dépressive » qui deviendra central pour sa théorie du développement psychique. James Gammill, fidèle kleinien, reprend et prolonge ce concept dans toutes ses éditions successives au décours de la vie psychique d’un sujet, elles-mêmes liées au vécu et à la qualité des transformations des objets internes. (…) Comme l’a montré Melanie Klein, un travail réussi de deuil permet une identification introjective sélective aux bons aspects de l’objet perdu, une diminution de la culpabilité et une « reconstruction d’un monde intérieur » plus riche et plus créatif. Si le sujet s’origine d’une structure de fiction, comme l’a découvert Lacan, il s’y développe néanmoins psychiquement. La translaboration de la position dépressive doit continuer tout au long de l’enfance et de l’âge adulte. L’adaptation croissante à la réalité est liée à des « transformations », terme privilégié chez Melanie Klein et chez Bion, transformations dans le fonctionnement de l’introjection et de la projection, qui permettent d’aboutir à une relation plus confiante avec le monde externe et le monde interne, avec la vie.

Et aussi :

Yveline Ciazynski, dans un blog (http://line04.unblog.fr/2009/05/19) :

Ce que je veux dire, quelque soit l'objet d'étude, la PRESENCE de l'autre est sexuée, et que cette présence va devoir être prise en compte dans l'apprentissage à travers l'Universel du processus du transfert , qui comme l'avait si bien vu Freud est à la fois le moteur et le frein de tout apprentissage.

C'est à dire que tout apprentissage ne peut exister sans le carambolage provoqué par la situation de plaisir nécessaire à tout apprentissage (...).

Ce processus lié au vécu est SINGULIER, aucun protocole ne peut en prévoir le cheminement, cependant l'action d'apprendre est déterminée par son élaboration et sa traversée: la” translaboration”.

Si j'élabore ma propre traversée, elle ne vous servira en rien car chaque processus est singulier lié à la structure propre de chacun (...).

Car c'est bien un plongement de l'objet qui va inférer la transformation de la structure et permettre à l'Apprenant à sortir de la gangue médico-sociale et à se re/approprier ce corps , à l'habiter en poète, à condition de sortir de la toute puissance de la technique...


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