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  • Formation et professionnalisation des travailleurs sociaux,

  • formateurs et cadres de santé


  • P. Hébrard (Coord.) L’Harmattan, 2004


Après avoir défini les différents sens du terme "professionnalisation", l'introduction présente les questions qui sont traités dans les quatre parties de cet ouvrage. La première propose une typologie des modes de professionnalisation, des dispositifs et institutions qui ont servi (ou servent) de cadre à la socialisation professionnelle. La seconde porte sur la professionnalisation des travailleurs sociaux, la troisième sur la formation et la professionnalisation des formateurs, la dernière sur celle des cadres de santé et des cadres du travail social.
(Ci-dessous l'introduction et la conclusion de cet ouvrage collectif)

Introduction


Les principaux sens du terme "professionnalisation"

Le terme de professionnalisation est polysémique : ses usages et les significations qu'il prend concernent trois types de processus ou de phénomènes :

1) La constitution de groupes professionnels
, c’est-à-dire les stratégies de groupes constitués de personnes ayant la même activité, le même métier, qui se rassemblent, s'organisent et agissent pour faire reconnaître leur utilité sociale, l'efficacité de leurs savoirs et de leurs méthodes, la nécessité d'une formation spécifique, sanctionnée par un diplôme, débouchant sur une autorisation à exercer, souvent aussi des modes d'organisation ou d'association autonomes incluant un contrôle de leurs membres et une déontologie explicite. Ces groupes parviennent ainsi à gagner à la fois une certaine autonomie, la reconnaissance d'un statut valorisé et un accès contrôlé à l'exercice de leur activité. (Jobert 1985, Dubar et Tripier 1998).

2) Les parcours biographiques et les trajets de formation d'individus leur permettant de construire une professionnalité (Bourdoncle et Mathey-Pierre 1994, Bourdoncle 2000) et une identité professionnelle (Dubar 1991), par l'acquisition de savoirs professionnels, mais aussi l'intériorisation d'attitudes, de normes, de valeurs et par l'identification à un groupe d'appartenance. Les processus en jeu peuvent être décrits comme un ensemble d'interactions ou de transactions constituant la socialisation professionnelle, des personnes concernées. Ils peuvent aussi être analysés comme relevant d'un imaginaire social, fait d'identifications et d'idéalisations, comme un mythe nécessaire. D'un point de vue clinique, ils peuvent être considérés comme un travail symbolique qui passe par l'écriture, permettant l'implication et la distanciation, et suppose un questionnement éthique.

3) La mise en œuvre de politiques et de dispositifs, en particulier de filières de formation préparant à exercer un métier. Leurs modes d'organisation, les processus de sélection à l'entrée, de contrôle des connaissances et de certification, la qualification et le recrutement des formateurs ou des enseignants qui en assurent le fonctionnement, les méthodes et les contenus, peuvent être décrits et analysés. Ces institutions et dispositifs de formation professionnelle relèvent pour une large part de règles et de décisions appartenant aux pouvoirs publics, en particulier pour les professions dont l'exercice est réglementé.

Les questions abordées par cet ouvrage

Les travaux rassemblés dans cet ouvrage collectif abordent un ensemble de questions au croisement de ces trois axes : celui des stratégies des groupes professionnels, celui des processus de socialisation et d'identification professionnelle des individus et celui des dispositifs de formation professionnelle conçus et mis en œuvre pour faciliter ces processus.

La première partie (chapitres 1 et 2) abordera notamment les questions suivantes : Quels sont les dispositifs et les institutions qui ont permis la socialisation professionnelle à différentes périodes de notre histoire ? Peut-on en repérer les principaux types ou modèles et les relier au contexte économique et social de leur époque ? Quels sont les dispositifs qui émergent dans la période actuelle ? Constituent-ils un nouveau modèle de formation intégrée au travail, partie prenante du modèle de la compétence (Zarifian 1993) ?

La deuxième partie (chapitres 3 et 4) s'intéresse à la professionnalisation des travailleurs sociaux : Quels rôles jouent, dans le processus de professionnalisation, le corps professionnel, les écoles (ou instituts de formation), les savoirs de référence, l'alternance ? Du point de vue des personnes en formation, quelles sont les significations et les effets (de sens et de construction identitaire) des procédures de sélection et d'accès à la formation, des stages sur le terrain, au contact des professionnels, de l'examen qui conduit à la délivrance du diplôme ? Comment jouent, à chacune de ces étapes, les différents modes de liaison et de déliaison dans la construction de l'identité professionnelle ?

Les notions mêmes de profession, de professionnalité et de compétence professionnelle ne sont-elles pas à interroger, en s'appuyant sur les concepts psychanalytiques d'identification et d'idéalisation (idéal du moi) et sur le concept anthropologique de mythe (la profession comme mythe...nécessaire) ?

La troisième partie (chapitres 5 à 8) traite un ensemble de questions concernant la formation des formateurs :

Comment définir ce qui fonde la professionnalité des formateurs caractérisés par une certaine diversité, aussi bien dans leur culture d'origine, que dans les publics auxquels ils s'adressent et dans leurs conditions d'exercice ? Quelles sont les compétences qu'ils revendiquent ? Peut-on parler d'une profession, ou d'un groupe en voie de professionnalisation, et quels sont les indicateurs de la structuration et de la reconnaissance de cette profession émergente ?

Les préférences pédagogiques des enseignants et des formateurs (en termes d'intentions pédagogiques, de rapport au savoir et de relation enseignant/enseignés) sont-elles significativement différentes ? Peut-on en construire une typologie et élaborer un test, fondé sur un choix d'items, qui mette en évidence ces différences ?

Qu'est-ce qui constitue le cœur ou le noyau de l'activité des formateurs ? Qui en est le sujet et quel en est l'objet ? Si l'on considère que le modèle proposé par M. Lesne pour rendre compte des pratiques formatives et du travail des formateurs soulève des difficultés à la fois d'ordre épistémique et éthique, peut-on proposer un modèle alternatif intégrant le travail du formateur et le travail (sur soi) de la personne en formation ?

Quelle place accorder à un questionnement éthique dans la formation des formateurs, si l'on admet que celle-ci ne peut se réduire à l'acquisition de compétences techniques ? Quel est le rôle de l'écriture dans la construction de l'identité professionnelle, lorsqu'elle met la personne en posture de recherche ?

La dernière partie de cet ouvrage (chapitres 9 et 10) aborde la professionnalisation des cadres de la santé et du travail social:

Quelle a été l'évolution de la formation professionnelle de certains métiers de la santé (notamment les "surveillant-e-s") et les grandes étapes de leur professionnalisation ? Pour ces cadres de santé, quels sont les enjeux du rôle croissant joué par une rationalité gestionnaire, au détriment de rationalités scientifiques et médicales ou de celles qui se fondent sur le rôle propre des soins infirmiers ?

Comment les formations de cadres du secteur social et médico-social se sont-elles développées depuis 1975, en relation avec la dynamique interne du champ professionnel ? Comment peut-on en comprendre les caractéristiques et les enjeux dans une perspective socio-historique prenant en compte l'évolution de la demande sociale et le souci de qualification des cadres du secteur social ?

Notre conclusion mettra l'accent sur les aspects contradictoires des processus que l'on regroupe sous le terme de professionnalisation et traitera notamment des questions suivantes :
N'assiste-t-on pas, dans la période récente, à une remise en cause des notions de profession et de professionnalité ? Certains indices n'indiquent-ils pas une tendance à la dé-professionnalisation, à l'éclatement ou à la remise en cause de ce qui fondait les professionnalités et l'idée même (le mythe) de la profession ? Ne peut-on voir dans cette tendance un aspect des mouvements plus large de déréglementation, d'individualisation, de précarisation du rapport salarial, de désaffiliation, liés à la domination croissante d'une logique marchande dans les domaines des services qui semblaient jusqu'ici encore y échapper (le travail social, la santé ou l'éducation) ? Ou bien doit-on considérer que nous allons vers de nouveaux modes de socialisation professionnelle, plus proches du modèle de la compétence que de celui de la qualification, plus souples, plus ouverts, plus diversifiés, qui ne signifient pas forcément la remise en cause, mais plutôt la redéfinition, de ce qui fonde les professionnalités dans les métiers du social, de la formation et de la santé ?


Les auteurs

Les auteurs des différents chapitres de cet ouvrage qui tenteront de répondre à ces questions, chacun à sa manière et de son point de vue, ont en commun d'être à la fois des praticiens de la formation professionnelle dans les secteurs du travail social, des métiers de la formation, de l'éducation et de la santé, et des chercheurs membres d'un centre de recherche dont l'objet central de travail est précisément la formation.

Leurs disciplines d'origine sont diverses : les sciences de l'éducation, la psychologie, la sociologie, l'anthropologie, l'économie, mais ils partagent le choix d'une approche qualitative et compréhensive des phénomènes étudiés, qui ne fait l'impasse ni sur leur dimension socio-historique, ni sur les processus en jeu à l'échelle des individus.

Eric AUZIOL est enseignant-chercheur en sciences de la communication et formateur-consultant

Paule BOURRET est cadre pédagogique dans un Institut de Formation des Cadres de Santé et doctorante en sociologie

Françoise BREANT est enseignant-chercheur en sciences de l'éducation et formatrice

Jacques FRAISSE est directeur d'un Institut Régional du Travail Social et titulaire d'un doctorat en psychologie

Pierre HEBRARD est enseignant-chercheur en sciences de l'éducation et formateur

Marthe KALIFA est chargée d'études, formatrice et chargée de cours à l'université

François LE CORNU est enseignant attaché à l'université et doctorant en économie

Jack PALAU est ancien directeur d'un Institut Régional du Travail Social

Camille THOUVENOT est directrice adjointe d'un Institut Régional du Travail Social et titulaire d'un doctorat en sciences de l'éducation.

Références bibliographiques :

BOURDONCLE R. et MATHEY-PIERRE C. (1994). Autour des mots : Recherche et développement professionnel, Recherche et Formation, n°17. INRP.
BOURDONCLE R. (2000). Autour des mots : Professionnalisation, formes et dispositifs, Recherche et Formation, n°35. INRP.
DUBAR C. (1991). La socialisation : construction des identités sociales et professionnelles, Paris : A. Colin.
DUBAR C. et TRIPIER P. (1998). Sociologie des professions, Paris : A. Colin.
JOBERT G. (1985). Processus de professionnalisation et production du savoir. Éducation Permanente, n°80.
ZARIFIAN P. (1993). Quels modèles d'organisation pour l'industrie européenne ? Paris : L'Harmattan.



Conclusion :

professionnalisation ou dé-professionnalisation ?



Les divers regards portés dans cet ouvrage sur les professions du travail social, de la formation et de la santé, nous ont permis de mettre en évidence des tendances contradictoires concernant la socialisation professionnelle, c'est à dire les dispositifs et les processus qui permettent la construction de l'identité professionnelle et de la professionnalité.

Nous avons tenté de les situer dans leur contexte socio-historique, par rapport aux évolutions dans la division du travail, dans la rationalisation et la spécialisation des activités.

Nous avons repéré comment ont émergé ces nouveaux "métiers" de la santé, du travail social et de la formation des adultes, suite aux stratégies de groupes sociaux, plus ou moins relayées par des politiques de l'Etat, en réponse à une demande sociale, en relation avec des changements sociaux et des progrès dans les sciences et les techniques.

Nous avons observé comment ils avaient pu obtenir certains signes de reconnaissance : formations, diplômes, statuts ou conventions collectives, associations professionnelles, démarches de certification ou de qualification.

Le terme de professionnalisation résume bien l'évolution qu'ont connu, tout au long du vingtième siècle, les métiers du secteur sanitaire et social (à partir des années cinquante, pour les surveillantes et monitrices, mais dès les années vingt et trente pour les infirmières visiteuses et les assistantes sociales), puis les autres professions du travail social (années soixante et soixante-dix) et, plus récemment, les professions de la formation (années quatre-vingt).

Dans la période récente, il nous semble qu'apparaissent de nouvelles contradictions, qui sont souvent vécues par les intéressés comme une remise en cause de leur professionnalité et qui vont à l'encontre de la tendance, dominante dans la période antérieure, vers la professionnalisation. Si, d'un côté des dispositifs de formation professionnelle en alternance et des modalités de certification ont été institués pour produire et valider des qualifications, ces dispositifs sont périodiquement transformés ou remis en cause.

Pour les professions réglementées, celles dont l'exercice est soumis à l'obtention d'un diplôme, les textes qui les régissent évoluent, les programmes et les épreuves changent, et certaines de ces évolutions touchent parfois à ce qui semblait être le noyau dur, le cœur de la compétence permettant l'exercice du métier. C'est par exemple le cas des connaissances médicales et en soins infirmiers qui disparaissent des épreuves de sélection et des programmes de formation des futurs cadres de santé (surveillantes et enseignantes) au profit de la gestion. Ces changements sont présentés par ceux qui les décident comme une nécessité pour accompagner (ou pour faciliter) une évolution considérée comme inéluctable dans le contenu des activités et dans l'organisation du travail. Mais elles peuvent légitimement être vécues (et dénoncées) par certains des concernés comme une perte de professionnalité, comme une véritable dé-professionnalisation.

Si l'on regarde du côté de "métiers" plus nouveaux et non réglementés, comme ceux de la formation continue (formateurs, responsables ou conseillers de formation...) des tendances contradictoires se manifestent également. D'un côté certains indices de structuration et de reconnaissance de ces professions apparaissent : des diplômes ont été créés, une convention collective est signée, des démarches de certification, de labellisation (NF, ISO...) se développent pour les organismes ou les formateurs. Mais par ailleurs la formation continue semble se diluer dans ses nouvelles modalités (auto-formation, individualisation, formation ouverte et à distance, e-learning, formation intégrée au travail, entreprise apprenante) et les textes récents concernant la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) donnent à chacun le droit de demander la certification des compétences acquises indépendamment de tout cursus de formation. De plus, dans les entreprises et les administrations, la fonction formation est de plus en plus souvent répartie dans les services opérationnels ; elle fait partie de la fonction de tout cadre, de tout manager, qui est considéré comme responsable de la gestion et du développement des compétences de ses subordonnés.

Le métier de formateur est aussi remis en cause par l'irruption des technologies (le multimédia et Internet en particulier). Il semble de plus en plus éclater entre une multitude de nouvelles spécialisations (ingénierie de la formation, conception et réalisation médiatique, animation de centre de ressources, accompagnement de parcours individuels...). Il est aussi divisé entre différents champs et catégories de publics, qui relèveraient de traitements pédagogiques et de modalités de formation hétérogènes. Certains vont jusqu'à proclamer l'inefficacité globale et définitive de toute formation collective organisée, en remettant à l'individu la responsabilité du maintien de ses compétences et de son employabilité. (Cf. les discours du type : "tous les savoirs du monde sont maintenant accessibles sur le Net, il ne tient qu'à vous d'entretenir vos connaissances et de valoriser ainsi votre capital humain"... nouveau mythe ?)

Face à ces évolutions, que deviennent les démarches fondées sur le développement et la reconnaissance des professionalités - les stratégies en faveur de ce qu'il est convenu d'appeler la professionnalisation des groupes concernés, les efforts des associations professionnelles et des divers organismes (centres, écoles, instituts) pour expliciter et contribuer à transmettre et à faire reconnaître des connaissances validées et des qualifications bien repérées ? Doivent-elles être considérées comme relevant d'un combat d'arrière-garde, comme une tentative, vouée à l'échec, de revenir à un monde dépassé, dans lequel chaque métier disposait (ou aspirait à bénéficier) d'une identité bien définie, certifiée par un diplôme, attestant de la maîtrise d'un noyau stable de connaissances et de compétences reconnues comme efficaces, et de l'adhésion à des valeurs et à une déontologie ? Bref, cette croyance collective (et pour une part mythique) dans ce qui faisait la valeur de ces professions du travail social, de la formation et de la santé est-elle en passe de disparaître ? Est-elle devenue obsolète ? Le mythe a-t-il cessé d'être nécessaire?

Nous ne nous prononcerons pas ici sur ces questions - cela relèverait d'une prise de position, ou de parti, qui n'est pas l'objet de cet ouvrage. Nous nous contenterons de les poser et nous signalerons qu'elles nous semblent sans doute à relier à d'autres questions, que certains engloberaient peut-être dans la nouvelle question sociale, qui est celle du début du vingt-et-unième siècle : la dérèglementation, en relation avec la globalisation de l'économie, la marchandisation et la privatisation, ou du moins la réduction du rôle de l'Etat et des services publics, et le poids croissant (écrasant) du marché et des exigences économiques, dans des secteurs qui semblaient, sinon échapper aux critères de gestion, du moins conserver d'autres critères ou d'autres valeurs à leur opposer ; les nouvelles formes d'emploi, la précarisation du statut de nombreux salariés, (signe précurseur de l'émergence d'un nouveau rapport salarial ?), et les autres formes de l'individualisation ou de la désaffiliation qui nous conduisent à rappeler pour finir la question posée par R. Castel et C. Haroche (2001) : celle "des nouvelles sécurités et des nouvelles protections qui pourraient donner consistance à l'individu dans une société "réticulaire" et connectionniste" (...) et rendre celle-ci vivable".

Professionnalisation ou dé-professionnalisation ?

Déconstruction ou nouvelles formes et modalités de construction des professionnalités faisant une part plus importante à l'activité en situation professionnelle, à l'expérience, dans le développement des compétences ?

Nouvelles modalités de certification de ces compétences qui donnent un rôle accru à la négociation entre partenaires sociaux au niveau des branches d'activités, mais surtout au niveau des établissements, au détriment des processus de formation ?

Si elles ouvrent de nouvelles possibilités, de nouveaux droits (bilan de compétence et VAE), ne risquent-elles pas de conduire à une individualisation du rapport salarial abolissant les protections que donnaient les accords collectifs, la reconnaissance des qualifications et les réglementations concernant les statuts et les diplômes garantis par l'Etat. Autour de ces questions et de ces enjeux, le social est au travail.



TABLE DES MATIERES


INTRODUCTION

PREMIERE PARTIE

Les modèles de la professionnalisation :
une approche socio-historique

Chapitre 1 : Les modèles de la socialisation
professionnelle.
(P. Hébrard)
Chapitre 2 : Les nouveaux modèles de formation
intégrée au travail
(P. Hébrard)


DEUXIEME PARTIE:

Formation et professionnalisation des
travailleurs sociaux

Chapitre 3 : Espace de formation et
processus de professionnalisation
(J. Fraisse)
Chapitre 4 : La profession comme mythe
ou « je sais bien mais quand même »
(C. Thouvenot)


TROISIEME PARTIE :

Formation et professionnalisation
des formateurs

Chapitre 5 : Les processus de professionnalisation
des métiers de la formation
(M. Kalifa et F Le Cornu)
Chapitre 6 : Le sujet et l'objet dans le travail
des formateurs et le processus
de formation
(P. Hébrard)
Chapitre 7: Formateurs et enseignants :
quelles différences identitaires ?
(E. Auziol)
Chapitre 8 : Questionnement éthique et compétences
Professionnelles. Pourquoi l'écriture ?
(F. Bréant)

QUATRIEME PARTIE :

La professionnalisation des cadres de
la santé et du travail social

Chapitre 9 : La professionnalisation des cadres
de santé
(P. Bourret)
Chapitre 10 : La formation des cadres du travail social (J. Palau et J. Fraisse)

CONCLUSION :
professionnalisation ou dé-professionnalisation



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